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Les citations de Johann Wolfgang von Goethe

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 Johann Wolfgang von Goethe

Toute théorie est sèche, et l'arbre précieux de la vie est fleuri.
Faust, Johann Wolfgang von Goethe (trad. Gérard de Nerval), éd. Gosselin, 1840, t. I, partie 1, chap. Cabinet d'étude (II), p. 58 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Information-silk.svg Citation choisie citation du jour pour le 24 juillet 2011.



Aie confiance en toi-même, et tu sauras vivre.
Faust, Johann Wolfgang von Goethe (trad. Gérard de Nerval), éd. Gosselin, 1840, t. I, partie 1, chap. Cabinet d'étude (II), p. 59 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)



Un bon Allemand ne peut souffrir les Français, mais pourtant il boit leurs vins très-volontiers.
Faust, Johann Wolfgang von Goethe (trad. Gérard de Nerval), éd. Gosselin, 1840, t. I, partie 1, chap. Cave d'Auerbach, à Leipzig, p. 68 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Information-silk.svg Citation choisie citation du jour pour le 31 décembre 2010.
Écraser l'innocent qui résiste, c'est un moyen que les tyrans emploient pour se faire place en mainte circonstance.
Faust, Johann Wolfgang von Goethe (trad. Gérard de Nerval), éd. Gosselin, 1840, t. I, partie 1, chap. « Jour sombre, un champ », p. 149 (voir la fiche de référence de l'œuvre) (texte intégral sur Wikisource)
Information-silk.svg Citation choisie citation du jour pour le 21 juin 2009.
Maximes et Réflexions, 1833[modifier]
À vrai dire, la tolérance ne devrait être qu'une attitude temporaire : elle doit conduire à la reconnaissance. Souffrir autrui, c'est l'outrager.
(de) Toleranz sollte eigentlich nur eine vorübergehende Gesinnung sein : sie muß zur Anerkennung führen. Dulden heißt beleidigen.
Maximen und Reflexionen, Johann Wolfgang von Goeth (trad. Wikiquote), éd. Christian Wegner, Hambourg, 1967, t. XII, 151 de l’édition hambourgeoise (Hamburger Ausgabe) des œuvres complètes, p. 385 (texte intégral sur Wikisource)



Qui ne connaît pas de langues étrangères ne sait rien de la sienne.
(de) Wer fremde Sprachen nicht kennt, weiß nichts von seiner eigenen.
Maximes et réflexions, Johann Wolfgang von Goethe (trad. S. Sklower), éd. Brockhaus et Avenarius, 1842, partie 2, p. 35 (texte intégral sur Wikisource)
Quizzu: Connaissez-vous la passion du jeune Werther ?

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